ADaM-Project

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Par Philippe Jonckheere (de) | 22 avril 2003

C'est cela que je préfère dans l'activité d'écriture, la lente relecture de ce qui fut écrit souvent à grand peine, et le polir et l'améliorer petit à petit à force de le relire, enfin c'est ce qu'on essaye de faire. A la fin, j'en arrive à concevoir une manière d'attachement sensuel et je finis par caresser le texte davantage que je ne le polis, comme je vois les mains de mon ami Pascal, menuisier, caressant le bois à la fin de l'ouvrage, avant le vernis, pour éprouver la finesse du grain.